Les bureaux de jardin se multiplient. Le phénomène n’est pas nouveau mais nul doute que la crise sanitaire et le recours au télétravail ont eu pour effet de doper les initiatives. Quelques infos utiles avant de se lancer…
On pourrait supposer que les produits de vapotage ne sont constitués que de vapeur d’eau. Or, la fumée de cigarette électronique ne comporte en réalité que très peu d’eau. Le e-liquide chauffé qui produit de la vapeur, est composé de plusieurs produits chimiques dont le propylène glycol, la glycérine végétale, des métaux lourds comme le toluène, le plomb ou le chrome qui sont toxiques et cancérogènes, ainsi que des arômes chimiques. Ces derniers, souvent sucrés, peuvent attirer les jeunes qui n’ont encore jamais fumé et les rendre ainsi dépendants à la nicotine. En effet, la plupart des e-liquides contiennent de la nicotine qui crée non seulement une forte assuétude, mais compromet aussi le développement du cerveau.
Les modèles plus récents de e-cigarettes dans lesquels la nicotine se présente sous forme de sels de nicotine, reproduisent mieux la sensation de fumer. De plus, ils permettent d’inhaler une grande quantité de nicotine sans ressentir d’irritation de la gorge. Néanmoins, la vapeur contient des particules fines qui pénètrent les poumons et dont on ne connaît pas encore les effets à long terme.
E-cigarette et sevrage tabagique
Pour l’OMS (Organisation mondiale de la santé), la cigarette électronique pourrait être une porte d’entrée au tabagisme. En France, cette position n’est pas partagée par tous les scientifiques, car la cigarette électronique est utilisée dans 99 % des cas par des fumeurs et dans moins de 1 % par des non-fumeurs. Nombre d’addictologues estiment que le véritable ennemi reste le tabac, responsable en France de 75 000 morts chaque année. La vapoteuse est un outil de sevrage, vapoter est une option intéressante pour qui veut arrêter le tabac. Mais une fois le sevrage à la nicotine fait, il est primordial de réduire puis de stopper également le vapotage.
Calculer l’emprise au sol
Contrairement à la surface de plancher, l’emprise au sol prend en considération l’épaisseur des murs extérieurs et les revêtements (extérieurs) ainsi que les débords de toits dès lors qu’ils sont soutenus par des poteaux et les terrasses surélevées d’au moins 60 cm du sol. En revanche, l’emprise au sol ne prend pas en considération les étages.