Installée au Technopôle de Metz, NBS Business School (NBS France) se distingue par un positionnement unique dans l’enseignement supérieur privé. Établissement indépendant, fondé et dirigé par deux entrepreneurs messins, NBS revendique une approche pragmatique, professionnalisante et profondément ancrée dans la réalité économique locale.
Fidèle à sa vocation d’école à taille humaine, NBS place la proximité au cœur de son modèle : proximité avec les étudiants, avec les entreprises, et avec le territoire. Cette indépendance permet à l’établissement d’innover, de s’adapter rapidement aux besoins du marché et de proposer une pédagogie évolutive, centrée sur l’employabilité et l’ouverture. Aujourd’hui, NBS accueille 350 étudiants, encadrés par une équipe de 12 personnes entièrement dédiées à leur accompagnement pédagogique et professionnel. Un ratio rare qui permet un suivi individualisé et un lien direct entre l’école, les apprenants et les entreprises partenaires.
Une alternance ancrée dans le réel
Les cursus, du BTS au Bac+5, sont tous reconnus par l’État et construits autour d’un principe central : apprendre en faisant. L’alternance y est systématisée, les contenus pédagogiques sont actualisés en fonction des mutations économiques, et les intervenants sont issus du monde professionnel. L’objectif est clair : former des profils immédiatement opérationnels, en phase avec les attentes des recruteurs et capables d’évoluer dans des environnements variés. Dans cet esprit entrepreneurial qui traverse toute l’école, NBS a mis en place des masterclass techniques à destination des étudiants en Bachelor. Trois modules sont proposés : intelligence artificielle appliquée, événementiel et création graphique. Quel que soit le parcours initial, chaque étudiant peut se former dans un domaine connexe, pour renforcer sa polyvalence et nourrir son esprit d’initiative. Ces ateliers, conçus avec des professionnels, stimulent l’envie d’apprendre autrement et permettent de développer des compétences transversales essentielles.
Une pédagogie ouverte sur le monde
L’école mise aussi sur l’ouverture internationale comme levier de développement personnel et professionnel. Des séjours linguistiques à l’étranger, déjà programmés et pris en charge par l’établissement, offrent aux étudiants une expérience immersive. Il ne s’agit pas seulement de progresser en anglais, mais de renforcer l’autonomie, la capacité d’adaptation et la compréhension interculturelle. C’est une façon concrète de préparer les étudiants à évoluer dans un monde globalisé et en constante transformation.
Un ancrage local, une vision entrepreneuriale
Ce modèle de proximité, d’innovation et d’accompagnement individualisé porte ses fruits : les étudiants s’insèrent rapidement dans le monde professionnel et développent un fort sentiment d’appartenance. “Nous connaissons chacun de nos étudiants, leurs projets, leurs difficultés, leurs progrès. Cette proximité crée un lien qui fait la différence”, souligne un membre de l’équipe pédagogique. En dehors des réseaux nationaux classiques, NBS Business School affirme une autre voie : celle d’une école indépendante, connectée au tissu économique local, agile dans ses décisions et ambitieuse dans son approche. Son implantation stratégique au Technopôle de Metz renforce cette dynamique. Ici, on apprend à entreprendre, à s’adapter et à agir.
Entretien avec Gilles Benoit et Maxime Marion, dirigeants de NBS France – L’École de Commerce en Alternance

Sur quels pays ou types d’immersion l’école souhaite-t-elle concentrer les bons de mobilité internationale ?
Nous avons choisi de concentrer nos séjours linguistiques à Londres et à Malte, deux destinations reconnues pour la qualité de leur enseignement en anglais et leur environnement multiculturel. À Londres, nous collaborons avec une école partenaire qui fait partie de notre réseau depuis de nombreuses années, ce qui garantit la qualité et la cohérence pédagogique de ces séjours. Les programmes comprennent des cours d’anglais adaptés aux différents niveaux des étudiants, avec une approche très opérationnelle. Environ la moitié des cours sont dédiés à l’apprentissage linguistique pur, tandis que l’autre moitié porte sur des thématiques liées à leurs domaines d’études – marketing, commerce, ressources humaines, communication – mais toujours avec un angle international. Cela leur permet de comprendre comment ces disciplines s’appliquent dans différents contextes culturels, car les méthodes et les pratiques ne sont pas les mêmes selon que l’on négocie avec un Allemand, un Italien ou un Marocain. Par ailleurs, nous assumons intégralement les frais pour les étudiants qui ne bénéficient pas de financements extérieurs. Nous considérons que ces séjours sont essentiels pour donner à chacun les moyens concrets d’ouvrir son horizon, d’acquérir de la confiance à l’international et d’être pleinement opérationnel dans un monde globalisé.
Comment identifiez-vous les professionnels intervenants et les thèmes à aborder dans les « Ateliers Bachelor « ?
Les thèmes abordés dans nos Ateliers Bachelor ont été choisis à partir d’un double recueil des besoins, à la fois auprès des entreprises partenaires et des étudiants eux-mêmes. L’idée est vraiment d’élargir les compétences des étudiants dans un contexte où les savoir-faire évoluent en permanence. L’objectif premier est d’ouvrir leur spectre de réflexion, en leur donnant la possibilité d’explorer des domaines connexes à leur spécialité, ce qui favorise leur adaptabilité et leur créativité. Pour ce qui est de la sélection des intervenants, nous respectons bien sûr les exigences réglementaires en matière de qualité pédagogique. Mais au-delà de cela, nous adoptons une approche résolument opérationnelle. Nous nous appuyons sur un réseau solide de près de 150 consultants avec lesquels nous collaborons régulièrement, notamment via BT-Est formation, une autre structure que nous pilotons et qui adresse une clientèle BtoB sur tout le Grand Est. Cette proximité avec des experts en activité nous garantit des interventions pragmatiques, en prise directe avec les réalités du terrain et les évolutions des métiers.
En dehors des dispositifs déjà annoncés, quelles autres nouveautés ou évolutions majeures envisagez-vous pour la rentrée 2025, que ce soit en matière d’offre de formation, de partenariats ou de services aux étudiants ?
Pour la rentrée 2025, nous souhaitons amplifier une initiative que nous avons mise en place cette année et qui a rencontré un fort intérêt de la part des étudiants : les visites thématiques. Il s’agit de déplacements pédagogiques ciblés dans des environnements professionnels variés – entreprises industrielles, centres commerciaux, audiences au tribunal – pour observer, analyser et échanger autour de pratiques concrètes. Par exemple, certains groupes ont travaillé sur des études de cas en conditions réelles après une immersion sur le terrain. C’est une manière directe et vivante de connecter la théorie à la pratique. Cette dynamique va être démultipliée et intégrée de façon plus systématique dans nos parcours. Parallèlement, nous renforçons nos partenariats avec des entreprises locales et régionales pour développer davantage d’opportunités d’alternance et de projets collaboratifs. Cela permettra à nos étudiants d’être toujours plus immergés dans la réalité professionnelle, tout en enrichissant leur réseau.
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