Le massif intérieur du groupe messin revient sur ses premiers pas avec son nouveau club et évoque son futur.
Vous êtes débarqué cet été à Metz doté d’un curriculum vitae impressionnant. Comment s’est passé votre adaptation au sein des Canonniers ?
Mon adaptation s’est réalisée en deux volets. Il y a l’aspect sportif où j’ai été agréablement surpris par le projet ambitieux et les infrastructures qui en découlent. Je peux jouer au basket sérieusement tout en assurant ma reconversion professionnelle après avoir validé l’année dernière mon Master 2 en management.
Quelle est la différence dans votre quotidien entre celui des clubs de Pro A, Pro B que vous avez côtoyés et celui avec votre nouveau club ?
La principale différence réside dans le fait qu’au niveau pro nous prenons part à deux entrainements par jour alors que là c’est un quotidien et j’arrive avec ma journée de travail dans les pattes. Il y aussi l’aspect soins, préparation qui est moindre même si nous sommes loin d’être à plaindre à Metz !
Qu’avez-vous trouvé au sein de votre nouveau club ?
Sans hésiter, une ambiance familiale. Je suis passé par pas mal d’équipes et j’ai rarement connu une telle cohésion. Un tel état d’esprit demeure important pour accomplir les objectifs que nous nous sommes fixés.
Selon vous, est-ce que la montée en Nationale 1 à la fin de cet exercice 2021-2022 peut être atteinte ?
Nous nous sommes donnés les moyens jusqu’à présent pour aller chercher les Playoffs dans un premier temps. Après cela il y a aura les finales d’accession à la Nationale 1 et la loi du sport peut être aussi belle que cruelle.