Une escapade rêvée au milieu des bois tourne au cauchemar pour un couple et leur fille, alors que quatre intrus les enjoignent à faire un choix déterminant pour l’Histoire de l’humanité. Avec Knock at the Cabin, le réalisateur du Sixième Sens nous promet des surprises glaçantes.
Réalisateur : Night Shyamalan. L’heure des vacances a sonné pour Eric, Andrew et leur fille adoptive Wen. A cette occasion, la petite famille a loué un chalet perdu au milieu de la forêt, échappant au tumulte de la ville. Ainsi coupé du monde, chacun va pouvoir profiter du calme et des nombreuses activités en pleine air qu’offrent les lieux. Alors que Wen collecte des insectes à l’extérieur, un homme à la carrure impressionnante apparaît soudainement, et vient à sa rencontre : il se présenter sous le prénom de Leonard. L’inconnu se montrant amical, ils discutent et jouent. Brusquement, l’homme annonce regretter ce qui est sur le point de se passer. Alors que la fillette se précipite à l’intérieur du chalet afin de tout raconter à ses parents, ces derniers refusent de prendre au sérieux ses allégations. Soudain, Leonard et trois de ses amis frappent à la porte et tentent de parler avec Andrew et Eric. Sans réponse favorable de la part de la famille, ils finissent par forcer l’entrer. Les voici à l’intérieur, armés d’un ensemble d’objets menaçants. S’en prenant aux deux pères, ils parviennent à les maîtriser. Pieds et poings liés, ils écoutent le discours que leur tient Leonard : le visage grave, il explique que sa bande et lui-même ont un travail très important à mener, celui qui pourrait être le plus significatif de l’histoire du monde. Et c’est la famille, terrorisée, qui va devoir faire un choix crucial. Tout refus entraînerait l’Apocalypse. Aux manettes de ce huis-clos tendu faisant la part belle à la paranoïa, au sacrifice et au combat pour la survie, on retrouve celui qui est passé maître dans l’art du retournement final, à savoir M. Night Shyamalan. Il s’agit en fait de l’adaptation de The Cabin at the End of the World, une œuvre de Paul G. Tremblay pour laquelle il s’est vu décerner son deuxième prix Bram-Stoker, lequel récompense les ouvrages de littérature horrifique et de dark fantasy.
Sortie le 1er Février