Elections à la présidence de l’Université de Lorraine
L’Université de Lorraine élira son (nouveau) président en mai prochain. Le Messin Christophe Schmitt, responsable du Pôle Entrepreneuriat Étudiant de Lorraine (Peel) et vice-président de l’Université de Lorraine en charge de l’Entrepreneuriat et l’Incubation, est candidat.
C’est en mai prochain que se dérouleront les élections pour la présidence de l’Université de Lorraine. Qui seront les candidats en lice ? Plusieurs noms circulent et se déclareront certainement dans les prochaines semaines. Seul Christophe Schmitt a choisi de ne pas attendre en annonçant sa candidature dès le mois de décembre. Messin, Christophe Schmitt a fait ses études à Metz, à Nancy ainsi qu’au Canada pour un post-doctorat. Il est diplômé en sciences économiques, en génie des systèmes industriels et en sciences de gestion. Vice-président de l’Université de Lorraine en charge de l’Entrepreneuriat et de l’Incubation, président du réseau (national) des vice-présidents en entrepreneuriat, Christophe Schmitt est également l’initiateur et le responsable du Pôle entrepreneuriat étudiant de Lorraine (Peel). Force est d’avouer que ce pôle dédié à l’entrepreneuriat est une belle réussite. Cette année il accueille plus de 500 étudiants-entrepreneurs. Et pour la 6e année consécutive, l’Université de Lorraine occupe la première place des universités les plus « entrepreneuriales » de France (en nombre d’étudiants-entrepreneurs). Candidat à la présidence mais pour quoi faire ? Christophe Schmitt a dévoilé quelques-unes de ses ambitions et priorités. Il entend davantage « engager » l’Université de Lorraine dans les débats, évolutions et mutations qui animent la société. L’avenir du travail ou encore l’intelligence artificielle en font partie. Il entend également « fédérer les territoires, aussi bien à l’intérieur de ce grand établissement régional qu’est l’Université de Lorraine, qu’à l’extérieur dans le cadre du Grand Est », a-t-il précisé dans la presse locale. Au registre de ses priorités, il est encore question de « remettre l’humain au centre de la réflexion » et de « réenchanter l’université ». « Innovation » et « confiance » font aussi partie de son vocabulaire. Tout cela se déclinera au travers d’un programme qui sera prochainement dévoilé, le fruit d’une réflexion collective riche de sa diversité. Christophe Schmitt a indiqué se lancer dans la course à la présidence avec le soutien d’un collectif de 200 personnes « issues de différents domaines et disciplines ».